MENNA AND OTHERS v. ITALY - 25728/16 (Article 6 - Right to a fair trial : First Section Committee) French Text [2023] ECHR 897 (16 November 2023)


BAILII is celebrating 24 years of free online access to the law! Would you consider making a contribution?

No donation is too small. If every visitor before 31 December gives just £1, it will have a significant impact on BAILII's ability to continue providing free access to the law.
Thank you very much for your support!



BAILII [Home] [Databases] [World Law] [Multidatabase Search] [Help] [Feedback]

European Court of Human Rights


You are here: BAILII >> Databases >> European Court of Human Rights >> MENNA AND OTHERS v. ITALY - 25728/16 (Article 6 - Right to a fair trial : First Section Committee) French Text [2023] ECHR 897 (16 November 2023)
URL: http://www.bailii.org/eu/cases/ECHR/2023/897.html
Cite as: [2023] ECHR 897

[New search] [Contents list] [Help]


 

 

 

PREMIÈRE SECTION

AFFAIRE MENNA ET AUTRES c. ITALIE

(Requêtes nos 25728/16 et 27 autres - voir liste en annexe)

 

 

 

 

 

ARRÊT

STRASBOURG

16 novembre 2023

 

Cet arrêt est définitif. Il peut subir des retouches de forme.

 


En l'affaire Menna et autres c. Italie,

La Cour européenne des droits de l'homme (première section), siégeant en un comité composé de :

 Krzysztof Wojtyczek, président,
 Lətif Hüseynov,
 Ivana Jelić, juges,
et de Viktoriya Maradudina, greffière adjointe de section f.f.,

Après en avoir délibéré en chambre du conseil le 12 octobre 2023,

Rend l'arrêt que voici, adopté à cette date :

PROCÉDURE


1.  À l'origine de l'affaire se trouvent des requêtes dirigées contre l'Italie et dont la Cour a été saisie en vertu de l'article 34 de la Convention de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (« la Convention ») aux différentes dates indiquées dans le tableau joint en annexe.


2.  Les requêtes ont été communiquées au gouvernement italien (« le Gouvernement »).

EN FAIT


3.  La liste des requérants et les précisions pertinentes sur les requêtes figurent dans le tableau joint en annexe.


4.  Au cours de la procédure, les requérants M. V. Menna et M. M. Pellegrino sont décédés. Leurs héritiers (voir tableau en annexe) ont exprimé leur souhait de maintenir les requêtes.


5.  Les requérants se plaignent de la durée excessive des procédures devant les juridictions administratives. Ils tirent également d'autres griefs des dispositions de la Convention.

LE droit et la pratique interne pertinents


6.  Le droit et la pratique internes pertinents relatifs, en général, à la loi no 89 du 24 mars 2001, dite « la loi Pinto », figurent dans l'arrêt Cocchiarella c. Italie ([GC], no 64886/01, §§ 23-31, CEDH 2006-V).


7.  En ce qui concerne son application à la durée des procédures juridictionnelles administratives, le droit et la pratique internes pertinents figurent dans l'arrêt Olivieri et autres c. Italie (nos 17708/12 et 3 autres, §§ 17-18 et 67-69, 25 février 2016).

8.  Dans la version du texte applicable aux présentes affaires, l'article 54, alinéa 2, du décret-loi no 112 de 2008, modifié par le décret-législatif no 104 du 2 juillet 2010 introduisant le code de procédure administrative, prévoyait que :

« La demande de satisfaction équitable pour se plaindre de la violation prévue par l'article 2, premier alinéa (de la loi no 89 du 24 mars 2001) dans une procédure devant le juge administratif ne peut pas être introduite si, dans la procédure en cause, n'a pas été présentée une demande de fixation en urgence de l'audience (istanza di prelievo) au sens de l'article 71, deuxième alinéa, du code de procédure administrative, ni par rapport à la période antérieure à sa présentation. »

EN DROIT

  1. SUR LA JONCTION DES REQUÊTES


9.  Compte tenu de la similitude des requêtes, la Cour estime approprié de les examiner conjointement en un seul arrêt.

  1. SUR LA QUALITÉ DES HÉRITIERS POUR AGIR DEVANT LA COUR


10.  La Cour note que les héritiers des requérants M. Vincenzo Menna et M. Michele Pellegrino (voir tableau en annexe) souhaitent maintenir les requêtes et que le Gouvernement ne s'y oppose pas. Eu égard aux liens familiaux et juridiques des intéressés avec les requérants et à leur intérêt légitime de poursuivre la procédure, la Cour accepte qu'ils poursuivent les requêtes (Janowiec et autres c. Russie [GC], nos 55508/07 et 29520/09, § 101, CEDH 2013). Pour des raisons d'ordre pratique, le présent arrêt continuera d'utiliser le terme « requérants » pour désigner M. Vincenzo Menna et M. Michele Pellegrino, bien qu'il faille aujourd'hui attribuer cette qualité à leurs héritiers.

  1. SUR LA VIOLATION ALLÉGUÉE DE l'ARTICLE 6 § 1 ET L'ARTICLE 13 DE LA CONVENTION


11.  Les requérants allèguent principalement que la durée de la procédure engagée devant les juridictions administratives est incompatible avec l'exigence du « délai raisonnable ». Ils invoquent l'article 6 § 1 de la Convention.


12.  Ils allèguent aussi que la condition de recevabilité d'un recours indemnitaire « Pinto », à savoir l'obligation de présenter une demande de fixation en urgence de la date de l'audience (istanza di prelievo) dans la procédure juridictionnelle administrative, remettrait en cause l'effectivité dudit remède au sens de l'article 13 de la Convention.

  1. Sur la recevabilité


13.  Le Gouvernement excipe que les requêtes ont été introduites hors du délai des six mois requis par l'article 35 de la Convention, en considération du fait que, à la date d'introduction des requêtes, la procédure d'indemnisation « Pinto » ne constituait pas un recours effectif qui doit être pris en compte dans le calcul du délai de six mois. Il allègue que l'article 54, alinéa 2, du décret-loi no 112 de 2008, tel que modifié par le décret-législatif no 104 de 2010 et applicable aux présentes affaires, disposait clairement qu'en défaut de présentation d'une demande de fixation en urgence de la date de l'audience (istanza di prelievo) au cours de la procédure juridictionnelle administrative, aucune somme à titre de réparation pour la longueur excessive des procédures administratives ne pouvait être octroyée par les juridictions « Pinto » (paragraphe 8 ci-dessus).


14.  Les requérants demandent à la Cour de rejeter cette exception. En effet, ils estiment qu'aux fins de la présente requête il convient de prendre en compte leur demande d'indemnisation « Pinto ». Ils en concluent qu'ils ont présenté leurs requêtes dans le délai de six mois requis par l'article 35 de la Convention.


15.  La Cour note qu'en vertu des dispositions pertinentes du droit italien, les requérants avaient la possibilité de saisir les juridictions « Pinto » pour obtenir une indemnisation en raison du délai déraisonnable des procédures devant les juridictions administratives, ce qu'ils ont fait entre 2011 et 2012 (voir tableau joint en annexe). Par ailleurs, la Cour observe que certains parmi les requérants ont fourni des exemples de décisions internes issues des juridictions « Pinto » et rendues entre 2012 et 2013, interprétant la disposition litigieuse dans le sens d'écarter de la détermination de la durée indemnisable uniquement la période postérieure à l'entrée en vigueur de ladite disposition et octroyant ainsi une indemnisation même en défaut de présentation d'une demande de fixation en urgence de la date de l'audience (istanza di prelievo). En outre, ce n'est qu'avec l'arrêt Olivieri et autres (précité, § 69), devenu définitif le 4 juillet 2016, que la Cour a jugé que le recours « Pinto » applicable aux procédures juridictionnelles administratives ne pouvait pas être considéré comme un recours effectif au sens de l'article 13 de la Convention. La Cour estime dès lors qu'à l'époque de l'introduction des demandes « Pinto », ce remède ne pouvait être considéré comme une voie de recours vouée à l'échec dès le départ.


16.  Partant, il y a lieu de rejeter l'exception préliminaire de non-respect du délai de six mois soulevée par le Gouvernement. Constatant que les requêtes ne sont pas manifestement mal fondées ni irrecevables pour un autre motif visé à l'article 35 de la Convention, la Cour les déclare recevables.

  1. Sur le fond


17.  La Cour estime que le grief des requérants, relatif à la durée des procédures juridictionnelles administratives, constitue prima facie un grief « défendable ». Les requérants avaient donc droit à un recours effectif à cet égard (Olivieri et autres, précité, § 48, Valada Matos das Neves c. Portugal, no 73798/13, § 74, 29 octobre 2015).


18.  Sur le terrain de l'article 13 de la Convention, la Cour renvoie aux principes élaborés dans l'arrêt Olivieri et autres (précité, §§ 67-71) et dit que les requérants ne disposaient pas d'un remède effectif pour se plaindre de la longueur excessive des procédures juridictionnelles administratives.


19.  Quant au grief tiré de l'article 6 § 1 de la Convention, la Cour rappelle que la durée « raisonnable » d'une procédure doit s'apprécier suivant les circonstances de la cause et à l'aide des critères suivants : la complexité de l'affaire, le comportement des requérants et celui des autorités compétentes ainsi que l'enjeu du litige pour les intéressés (Frydlender c. France [GC], no 30979/96, § 43, CEDH 2000-VII).


20.  Dans l'arrêt de principe Cocchiarella (précité), la Cour a conclu à la violation de l'article 6 § 1 de la Convention au sujet de questions liées à la durée excessive des procédures judiciaires.


21.  Après examen de l'ensemble des éléments qui lui ont été soumis, la Cour ne décèle aucun fait ou argument propre à justifier la durée globale de la procédure au niveau national. Compte tenu de sa jurisprudence en la matière, elle estime qu'en l'espèce la durée de la procédure litigieuse est excessive et ne répond pas à l'exigence du « délai raisonnable ».


22.  Il s'ensuit que ces griefs révèlent une violation de l'article 6 § 1 et l'article 13 de la Convention.

  1. SUR LES AUTRES VIOLATIONS ALLÉGUÉES RELEVANT D'UNE JURISPRUDENCE BIEN ÉTABLIE


23.  Certains requérants ont formulé d'autres griefs concernant la durée excessive des procédures « Pinto » en s'appuyant sur la jurisprudence bien établie de la Cour (voir tableau joint en annexe). Constatant que ces griefs ne sont pas manifestement mal fondés au sens de l'article 35 § 3 a) de la Convention et ne se heurtent à aucun autre motif d'irrecevabilité, la Cour les déclare recevables. Après examen de l'ensemble des éléments en sa possession, elle conclut qu'ils révèlent également des violations de la Convention, eu égard à ses constats dans les affaires Belperio et Ciarmoli c. Italie (no 7932/04, §§ 39-46, 21 décembre 2010) et Gagliano Giorgi c. Italie (no 23563/07, §§ 69-73 CEDH (extraits)).

  1. SUR L'APPLICATION DE L'ARTICLE 41 DE LA CONVENTION


24.  Aux termes de l'article 41 de la Convention,

« Si la Cour déclare qu'il y a eu violation de la Convention ou de ses Protocoles, et si le droit interne de la Haute Partie contractante ne permet d'effacer qu'imparfaitement les conséquences de cette violation, la Cour accorde à la partie lésée, s'il y a lieu, une satisfaction équitable. »


25.  Eu égard aux documents en sa possession et à sa jurisprudence (Cocchiarella, précité), la Cour estime raisonnable d'allouer les sommes indiquées dans le tableau joint en annexe.


26.  En revanche, elle n'octroie aucune somme aux requérants des requêtes nos 67674/17, 81189/17, 945/18, 12452/18, 14474/18, 14482/18, 14485/18, 21186/18, 26186/18, 27208/18, qui n'ont pas soumis une demande de satisfaction équitable pour préjudice moral, ni formulé une demande pour les frais et dépens, conformément aux conditions énoncées dans son règlement et dans l'instruction pratique qui leur a été adressée.

PAR CES MOTIFS, LA COUR, À L'UNANIMITÉ,

  1. Décide de joindre les requêtes ;
  2. Dit que les héritiers de MM. V. Menna et M. Pellegrino (voir tableau joint en annexe) ont qualité pour poursuivre la présente procédure ;
  3. Déclare les requêtes recevables ;
  4. Dit que ces requêtes révèlent une violation de l'article 6 § 1 de la Convention en raison de la durée des procédures juridictionnelles administratives ;
  5. Dit qu'il y a eu violation de l'article 13 de la Convention ;
  6. Dit qu'il y a eu violation de la Convention en ce qui concerne les autres griefs relevant de la jurisprudence bien établie de la Cour (voir tableau joint en annexe) ;
  7. Dit

a)    que l'État défendeur doit verser aux requérants, dans les trois mois, les sommes indiquées dans le tableau joint en annexe ;

b)    qu'à compter de l'expiration dudit délai et jusqu'au versement, ces montants seront à majorer d'un intérêt simple à un taux égal à celui de la facilité de prêt marginal de la Banque centrale européenne applicable pendant cette période, augmenté de trois points de pourcentage.

Fait en français, puis communiqué par écrit le 16 novembre 2023, en application de l'article 77 §§ 2 et 3 du règlement.

 

 Viktoriya Maradudina Krzysztof Wojtyczek
 Greffière adjointe f.f. Président

 


ANNEXE

Liste de requêtes concernant des griefs tirés de l'article 6 § 1 et l'article 13 de la Convention

(durée excessive de la procédure engagée devant les juridictions administratives et absence de recours effectif en droit interne)

No.

Numéro et date d'introduction de la requête

Nom du requérant et année de naissance

Nom et ville du représentant

Début de la procédure

Fin de la procédure

Durée totale

Nombre de degrés de juridiction

Juridiction interne / numéro de dossier

Indemnisation octroyée au niveau interne (en euros)

Détails sur le recours Pinto -

Jurisprudence

Autres griefs relevant de la jurisprudence bien établie

Montant alloué pour dommage moral par requérant

/foyer

(en euros) [1]

Montant alloué pour frais et dépens par requête

(en euros)[2]

  1.    

25728/16

29/04/2016

Vincenzo MENNA

1939

Décédé en 2019

 

Héritiers (foyer) :

 

Armando MENNA

1971

Antonio MENNA

1968

Elena CASTALDO

1944

 

 

Kivel Mazuy Patrizia

Naples

20/04/1991

 

22/02/2012

 

20 années et 10 mois et 3 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour de Cassation,

R.G. 2574/2014

 

Arrêt rendu dans la procédure Pinto, entamée par le requérant en date du 21/11/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

31 200

500

  1.    

43537/16

20/07/2016

Maurizio PORCELLI

1967

Cerio Ennio

Campobasso

21/04/1994

 

20/12/2010

 

16 années et 8 mois

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 3487/2011

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par le requérant en date du 15/06/2011

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

15 700

-

  1.    

60542/16

08/10/2016

Dante POLCARI

1956

Romano Giovanni

Bénévent

07/10/1993

 

09/11/2010

 

17 années et 1 mois et 3 jours

 

2 degrés de juridiction

 

Cour de Cassation,

R.G. 7147/2015

 

Arrêt rendu dans la procédure Pinto, entamée par le requérant en date du 01/02/2011

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

17 400

2 388

  1.    

60553/16

08/10/2016

Vincenzo CATALANO

1957

Romano Giovanni

Bénévent

24/05/1996

 

23/01/2012

 

15 années et 8 mois

 

1 degré de juridiction

 

Cour de cassation,

R.G. 7143/2015

 

 

Arrêt rendu dans la procédure Pinto, entamée par le requérant en date du 17/01/2011

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

18 900

2 388

  1.    

60819/16

08/10/2016

Dante POLCARI

1956

Romano Giovanni

Bénévent

05/07/1995

 

28/02/2012

 

16 années et 7 mois et 24 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour de Cassation,

R.G. 7146/2015

 

Arrêt rendu dans la procédure Pinto, entamée par le requérant en date du 01/02/2011

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

20 300

2 388

  1.    

78676/16

07/12/2016

(6 requérants)

Roberto PAOLINI

1963

Angelo DE CARO

1957

Antonino D'URZO

1964

Michele CASSANO

1967

 

Foyer

Fernanda ASCIONE

1993

Loredana D'AMATO

1969

 

Cerio Ennio

Campobasso

23/04/2003

 

08/05/2013

 

10 années et 16 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour de Cassation,

R.G. 25719/2014

 

Arrêt rendu dans la procédure Pinto, entamée par les requérants en date du 11/07/2011

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

7 800

-

  1.    

78693/16

07/12/2016

(38 requérants)

Nicola MILO

1958

 

Luigi ANGELLOTTO

1963

 

Marco BELLOTTI

1969

 

Antonio BOTTALICO

1960

 

Domenico CAPORUSSO

1971

 

Lino CARAFA

1967

 

Ersenio CARROCCIA

1965

 

Carmine CASTALDO

1965

 

Michelangelo CIOCE

1964

 

Rocco COLATRIANO

1960

 

Luigi D'AGNANO

1969

 

Giuseppe D'AMATO

1959

 

Francesco D'AMICO

1963

 

Giovanni DENTICO

1968

 

Paolo DI DESIDERO

1965

 

Mario DI PRISCO

1965

 

Giuseppina D'ORIA

1967

 

Antonio ESPOSITO

1961

 

Giovanni FINO

1964

 

Cataldo GALASSO

1965

 

Domenico GALLO

1963

 

Michele GIORDANO

1961

 

Antonio LANDOLFI

1962

 

Giancarlo MAGGIO

1967

 

Michele MAJORANA

1968

 

Michele MASTROLORITO

1961

 

Liberato MONTEFORTE

1962

 

Roberto NAPOLETANO

1967

 

Mario NIGRO

1963

 

Aldo ORSINO

1961

 

Mauro PELLICCIA

1959

 

Rocco Dario PETTINELLI

1965

 

Antonio QUARANTIELLO

1952

 

Federico SALERNO

1963

 

Ferdinando SALLUSTIO

1962

 

Vincenzo STRAZZULLO

1964

 

Angelo TROTTA

1961

 

Attilio URSO

1965

 

Cerio Ennio

Campobasso

05/01/2004

 

03/05/2013

 

9 années et 3 mois et 29 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour de Cassation,

R.G. 25721/2014

 

Arrêt rendu dans la procédure Pinto, entamée par les requérants en date du 11/07/2011

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

6 700

-

  1.    

78709/16

07/12/2016

(28 requérants)

Silvano MARCHETTI

1958

 

Giuseppe COPPOLINO

1966

 

Raffaele GEMMATO MOLLICHELLA

1965

 

Antonio CEGLIE

1954

 

Francesco PANZARINO

1965

 

Renato PALUMBO

1958

 

 

Vito FARINOLA

1963

 

Enrico CARLUCCI

1966

 

Cosimo BELFIORE

1963

 

Michele PIZZO

1964

 

Ugo MANGANARO

1963

 

Leonardo COLANGIULO

1959

 

Francesco SPAGNUOLO

1957

 

Antonio MARCOVECCHIO

1956

 

Paolo Oronzo GRAVANTE

1958

 

Vito CINQUEPALMI

1963

 

Rocco PENNACCHIO

1960

 

Andrea MAZZILLI

1955

 

Michele PINTO

1955

 

Franco DI PAOLA

1963

 

Vito NAVARRA

1960

 

Giuseppe Vincenzo DELEONARDIS

1967

 

Francesco SQUICCIARINI

1964

 

Nicola LEONETTI

1965

 

Cosimo STRUSI

1959

 

Foyer

Dalila SPAGNOLETTA

1997

Domenico SPAGNOLETTA

1993

Francesca ADESSO

1970

 

Cerio Ennio

Campobasso

15/05/2004

 

13/09/2013

 

9 années et 4 mois

 

1 degré de juridiction

 

Cour de Cassation,

R.G. 25718/2014

 

Arrêt rendu dans la procédure Pinto, entamée par les requérants en date du 11/07/2011

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

6 700

-

  1.    

1471/17

13/12/2016

Bruna ALESSANDRONI

1946

De Paola Gabriele

Florence

27/11/1989

 

04/07/2011

 

21 années et 7 mois et 8 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 6072/2011

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par la requérante en date du 28/10/2011

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

31 200

-

  1.  

67674/17

05/09/2017

Stanislao TANGO

1954

D'Addamio Orsola

Sulmone

02/05/2000

 

24/05/2012

 

12 années et 23 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 4692/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par le requérant en date du 27/07/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

Art. 6 (1) - durée excessive de la procédure civile - Le requérant se plaint aussi de la durée excessive de la procédure "Pinto", ayant eu une durée globale de quatre ans et huit mois pour un degré de juridiction (notamment, le requérant avait entamé la procédure devant la cour d'appel de Pérouse (R.G. 4692/2012) en date du 27/07/2012 et le décret « Pinto » a été déposé au greffe en date du 06/03/2017).

 

-

-

  1.  

81189/17

17/11/2017

(41 requérants)

Gianfranco AMBROSINI

1951

Diomede FANTASIA

1947

Giglio QUADRELLI

1949

Giulio PETRONI

1933

Virginio CITRÀ

1931

Elena BIANCHI

1936

Alessandro SANTOPAOLO

1948

Aurelio TOSCANO

1924

Ferdinando IOPPI

1952

Angelo BOSCHI

1937

Mario QUONDANSANTI

1950

Osvaldo QUINTARELLI

1935

Biagio COMPARELLI

1939

Tullio GRABRIELLI

1928

Pierpaolo BREGOGLI

1947

Luciano BELPUSI

1950

Ludovico LUPICCOLO

1938

Riccardo POSSENTI

1947

Franco SARTACCI

1947

Mario TASSINI

1939

Antonio PIZZARELLO

1947

Vincenzo DEL CONTE

1944

Giuseppe MATERA

1938

Armando BRUNACCI

1943

Giovanni Umberto SPANTI

1935

Dino CECCHINI

1939

Francesco SANTILLI

1944

Giustino CARIELLO

1933

Domenico LEONI

1947

Aldo SCARDACCHI

1934

Giuseppe MARCUCCIO

1932

 

Foyer

Maddalena TUCCINI

1971

Rosalba MEZZOLI

1940

 

Foyer

Roberto FITTIPALDI

1964

Cristina FITTIPALDI

1970

 

 

Foyer

Salvatore SCANDURA

1966

Maria Grazia COMANDINI

1935

Antonella SCANDURA

1961

 

Foyer

Ruggero ROMANO

1961

Roberto ROMANO

1966

Anna Maria FILIPPONI

1938

 

D'Addamio Orsola

Sulmone

17/01/2002

 

20/10/2014

 

12 années et 9 mois et 4 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 2209/2012

 

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par les requérants en date du 18/06/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

Art. 6 (1) - durée excessive de la procédure civile - Les requérants se plaignent aussi de la durée excessive de la procédure « Pinto », ayant eu une durée globale de quatre ans et onze mois pour un niveau de juridiction (notamment, les requérants avaient entamé la procédure devant la cour d'appel de Pérouse en date du 18/06/2012

(R.G. 2209/2012)

et le décret « Pinto » a été déposé au greffe en date du 18/05/2017).

 

 

-

-

  1.  

945/18

15/12/2017

(22 requérants)

Cesidio SARRECCHIA

1964

Giacomo CROTTI

1946

Antonio IOLI

1972

Rosa AVITABILE

1949

Pasquale DE CAROLIS

1967

Angelo Massimo QUONDAM

1965

Roberto CROTTI

1972

Angelo Silvano QUONDAM

1967

Angelo IOLI

1966

Maria Pia CALDARIGI

1955

Agnese SARRECCHIA

1969

Pietro DE CAROLIS

1974

Maria IOLI

1960

Piero IOLI

1969

Elena IOLI

1962

Michele FIDA

1951

Maurizio LORENZINI

1953

Gianluca CROTTI

1971

Fiorella DE MARCO

1955

 

Foyer

Domenica FANTOZZI

1955

Santa FANTOZZI

1977

Antonio FANTOZZI

1975

D'Addamio Orsola

Sulmone

24/04/1995

 

07/03/2012

 

16 années et 10 mois et 13 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 2007/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par les requérants en date du 08/06/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

Art. 6 (1) - durée excessive de la procédure civile - Les requérants se plaignent aussi de la durée excessive de la procédure « Pinto », ayant eu une durée globale de quatre ans et huit mois pour un degré de juridiction (notamment, les requérants avaient entamé la procédure devant la cour d'appel de Pérouse (R.G. 2007/2012) en date du 08/06/2012 et le décret « Pinto » a été déposé au greffe en date du 16/06/2017).

 

 

-

-

  1.  

12452/18

28/02/2018

Raffaele PALUMBO

1948

D'Addamio Orsola

Sulmone

09/10/2000

 

30/05/2012

 

11 années et 7 mois et 22 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G.  6156/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par le requérant en date du 07/09/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

Art. 6 (1) - durée excessive de la procédure civile - Le requérant se plaint aussi de la durée excessive de la procédure « Pinto », ayant eu une durée globale de cinq ans pour un degré de juridiction (notamment, le requérant avait entamé la procédure devant la cour d'appel de Pérouse (R.G. 6156/2012) en date du 07/09/2012 et le décret « Pinto » a été déposé au greffe en date du 23/10/2017).

 

 

-

-

  1.  

13294/18

09/03/2018

Adriano ALBANO

1958

Cerio Ennio

Campobasso

09/03/2005

 

25/07/2016

 

11 années et 4 mois et 17 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 802/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par le requérant en date du 06/03/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

12 480

-

  1.  

14474/18

13/03/2018

Luciano FUSCA

1945

D'Addamio Orsola

Sulmone

07/02/2003

 

28/03/2013

 

10 années et 1 mois et 22 jours

 

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 5760/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par le requérant en date du 07/09/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

Art. 6 (1) - durée excessive de la procédure civile - Le requérant se plaint aussi de la durée excessive de la procédure « Pinto », ayant eu une durée globale de cinq ans pour un degré de juridiction (notamment, le requérant avait entamé la procédure devant la cour d'appel de Pérouse (R.G. 5760/2012) en date du 07/09/2012 et le décret « Pinto » a été déposé au greffe en date du 18/09/2017).

 

-

-

  1.  

14482/18

13/03/2018

Biagio MARTORANO

1950

D'Addamio Orsola

Sulmone

07/02/2003

 

28/03/2013

 

10 années et 1 mois et 22 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse

R.G. 5760/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par le requérant en date du 07/09/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

Art. 6 (1) - durée excessive de la procédure civile - Le requérant se plaint aussi de la durée excessive de la procédure « Pinto », ayant eu une durée globale de cinq ans pour un degré de juridiction (notamment, le requérant avait entamé la procédure devant la cour d'appel de Pérouse (R.G. 5760/2012) en date du 07/09/2012 et le décret « Pinto » a été déposé au greffe en date du 18/09/2017).

 

 

-

-

  1.  

14485/18

13/03/2018

Maurizio CONTI

1954

D'Addamio Orsola

Sulmone

07/02/2003

 

28/03/2013

10 années et 1 mois et 22 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 5760/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par le requérant en date du 07/09/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

Art. 6 (1) - durée excessive de la procédure civile - Le requérant se plaint aussi de la durée excessive de la procédure « Pinto », ayant eu une durée globale de cinq ans pour un degré de juridiction (notamment, le requérant avait entamé la procédure devant la cour d'appel de Pérouse (R.G. 5760/2012) en date du 07/09/2012 et le décret « Pinto » a été déposé au greffe en date du 18/09/2017).

 

-

-

  1.  

20734/18

24/04/2018

(5 requérants)

Lorenzo MAGUOLO

1961

 

Santi Ugo Manlio CAPIZZI

1963

 

Angelo CASUCCIO

1965

 

Carmine D'ANGELO

1963

 

Salvatore GRACI

1958

 

Cerio Ennio

Campobasso

24/07/2001

 

19/09/2014

 

13 années et 1 mois et 27 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 790/2012

 

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par les requérants en date du 06/03/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

14 600

-

  1.  

20756/18

24/04/2018

(30 requérants)

Ernesto CATALANO

1957

 

Michele CANTORE

1964

 

Massimiliano CAPOMACCIO

1968

 

Antonio CHIALASTRI

1956

 

Marco CIABATTONI

1964

 

Roberto CIOTTI

1961

 

Giovanni Battista CORVO

1962

 

Domenico DE ANGELIS

1961

 

 

Michele DI LEO

1969

 

Antonio DI PALMA

1960

 

Paolo DI ROSA

1967

 

Roberto FORLINI

1965

 

Giuseppe GAGGINI

1963

 

Paolo GALDI

1956

 

Carmine GATTI

1964

 

Giuseppe INZERILLO

1960

 

Giovanni LA MANTIA

1960

 

Francesco LA ROSA

1961

 

Raffaele LOIACONO

1968

 

Tommaso LUCCHETTA

1959

 

Marco MARCANTONI

1964

 

Sebastiano NUCIFORO

1955

 

Emidio ORFANELLI

1962

 

Cosimo ROMA

1962

 

Enzo SANDRONI

1964

 

 

Giuseppe SOLITO

1962

 

Filippo TARANTO

1959

 

Enio TEMPESTILLI

1958

 

Valerio TODARO

1963

 

Roberto TOFANELLI

1962

 

Cerio Ennio

Campobasso

09/03/2004

 

19/06/2015

 

11 années et 3 mois et 11 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 791/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par les requérants en date du 06/03/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

8 700

-

  1.  

20826/18

24/04/2018

(3 requérants)

Savino CATALANO

1963

 

Valerio POMPILI

1967

 

Domenico VIGLIOTTI

1965

 

Cerio Ennio

Campobasso

17/10/2002

 

04/02/2015

 

12 années et 3 mois et 19 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 788/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par les requérants en date du 06/03/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

13 100

-

  1.  

21186/18

20/04/2018

(12 requérants)

Luigi ARIGÒ

1948

 

Tiziana CESARETTI

1960

 

Giuseppe FAILLA

1953

 

Costantino GRECO

1952

 

Giancarlo INDRIOLO

1952

 

Alfredo LO IACONO

1951

 

Sergio MUCIACCIA

1951

 

Margherita PELUSO NORMANNO

1939

 

Massimo SPONZILLI

1947

 

Sebastiano STELLINO

1939

 

Stanislao TANGO

1954

 

Enrica ZANDA

1952

 

D'Addamio Orsola

Sulmone

18/07/1995

 

03/11/2011

 

16 années et 3 mois et 17 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 6150/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par les requérants en date du 07/09/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

Art. 6 (1) - durée excessive de la procédure civile - Les requérants se plaignent aussi de la durée excessive de la procédure « Pinto », ayant eu une durée globale de cinq ans pour un degré de juridiction (notamment, les requérants avaient entamé la procédure devant la cour d'appel de Pérouse (R.G. 6150/2012) en date du 07/09/2012 et le décret « Pinto » a été déposé au greffe en date du 23/10/2017).

 

 

-

-

  1.  

21316/18

26/04/2018

(16 requérants)

Carmine Giuseppe LOPS

1960

 

Emanuele ABBATTISTA

1957

 

Giuseppe CALELLA

1959

 

Adorno DI NICOLA

1945

 

Angelino LUZI

1957

 

Maurizio MUNGARI

1962

 

Fortunato PADOVANO

1955

 

Claudio PARENTE

1965

 

Michele PORZIA

1960

 

Michele RIZZITELLI

1957

 

Antonio Mose' SALVIGNI

1961

 

 

Dario SARTI

1965

 

Francesco SPALLUTO

1962

 

Mauro SPINACI

1952

 

Antonio Mose' VICENTELLI

1965

 

Domenico ZINGARO

1963

 

Cerio Ennio

Campobasso

04/07/1995

 

03/01/2012

 

16 années et 6 mois

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 798/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par les requérants en date du 06/03/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

19 190

-

  1.  

21339/18

24/04/2018

Bruno MINCUZZI

1961

 

Pietro SALFI

1963

 

Cerio Ennio

Campobasso

31/01/2001

 

09/06/2014

 

13 années et 4 mois et 10 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 783/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par les requérants en date du 06/03/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

14 600

-

  1.  

23757/18

04/05/2018

Luciano RICUCCI

1967

Parente Zamparelli Giovanni Carlo

Rome

15/05/2000

 

13/02/2012

 

11 années et 9 mois

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 4955/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par le requérant en date du 31/07/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

18 700

700

  1.  

26186/18

23/05/2018

(19 requérants)

Rosario AGLIERI RINELLA

1953

 

Paolo AGRESTINI

1939

 

Maria AUTERI

1945

 

Marco BORELLI

1954

 

Paola BULTRINI

1952

 

Alessandra CIACCIOFERA

1985

 

Domenica COVINO

1951

 

Donato DI LEO

1947

 

Giuseppe INCARDONA

1954

 

Raffaele LOFFREDO

1950

 

Giuseppe MARITATI

1939

 

Umberto PIECHE

1952

 

Angelo Maria POMILLA

1953

 

Alfredo POSILLIPO

1954

 

Maria RIZZO

1957

 

Maria SCHIAVONI

1955

 

Clelia STIGLIANO

1954

 

Giulia TAGLIAVIA

1952

 

Paolo TURI

1955

 

D'Addamio Orsola

Sulmone

18/07/1995

 

25/10/2011

 

16 années et 3 mois et 8 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 6154/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par les requérants en date du 07/09/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

Art. 6 (1) - durée excessive de la procédure civile - Les requérants se plaignent aussi de la durée excessive de la procédure « Pinto », ayant eu une durée globale de cinq ans pour un degré de juridiction (notamment, les requérants avaient entamé la procédure devant la cour d'appel de Pérouse (R.G. 6154/2012) en date du 07/09/2012 et le décret « Pinto » a été déposé au greffe en date du 29/11/2017).

 

-

-

  1.  

27208/18

23/05/2018

Paolo BERTOLINI

1945

 

Domenico Damiano GIANNERAMO

1951

 

D'Addamio Orsola

Sulmone

18/07/1995

 

28/05/2013

 

17 années et 10 mois et 11 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 6152/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par les requérants en date du 07/09/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

Art. 6 (1) - durée excessive de la procédure civile - Les requérants se plaignent aussi de la durée excessive de la procédure « Pinto », ayant eu une durée globale de cinq ans pour un degré de juridiction (notamment, les requérants avaient entamé la procédure devant la cour d'appel de Pérouse (R.G. 6152/2012) en date du 07/09/2012 et le décret « Pinto » a été déposé au greffe en date du 29/11/2017).

 

 

-

-

  1.  

28686/18

07/06/2018

(10 requérants)

Massimo BERNARDI

1969

 

Francesco CARRIERO

1956

 

Alessandro CIMEI

1967

 

 

Roberto CUSUMANO

1964

 

Nicola D'AMBRA

1968

 

Maurizio FASANO

1959

 

Marco MORETTI

1962

 

Alessandro PAOLUCCI

1964

 

Paolo PATRIZI

1966

 

Giuseppe SALSANO

1964

 

Cerio Ennio

Campobasso

21/09/2000

 

19/05/2014

 

13 années et 7 mois et 29 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 800/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par les requérants en date du 06/03/2012 (sauf le requérant D'Ambra, qui entama la procédure en date du 26/06/2012)

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

16 000

-

  1.  

34959/18

17/07/2018

Michele PELLEGRINO

1968

Décédé en 2023

 

 

Héritière :

Pellegrino Martina Pia

2010

Parente Zamparelli Giovanni Carlo

Rome

13/06/2000

 

26/09/2011

 

11 années et 3 mois et 14 jours

 

1 degré de juridiction

 

Cour d'appel de Pérouse,

R.G. 1726/2012

 

Décret rendu dans la procédure Pinto, entamée par le requérant en date du 16/05/2012

 

Pas d'indemnisation octroyée au niveau interne

Olivieri et autres c. Italie, nos 17708/12 et 3 autres, 25 février 2016

 

16 600

700

 


[1] Plus tout montant pouvant être dû à titre d'impôt par la partie requérante.

[2] Plus tout montant pouvant être dû à titre d'impôt par la partie requérante.


BAILII: Copyright Policy | Disclaimers | Privacy Policy | Feedback | Donate to BAILII
URL: http://www.bailii.org/eu/cases/ECHR/2023/897.html